Loin des mégaoctets qui inondent le flux #islande de nos réseaux sociaux depuis quelques années, le photographe Eric Lefortson nous partage ici une découverte de la terre de glace toute en sobriété et la réalité d’une île trop souvent limitée aux clichés sans cesse reproduits par les photographes qui la visitent. Une Islande capturée au 35mm F1.4 DG HSM | Art et 24-70mm F2.8 DG EX HSM.
Pourquoi la plupart des gens rêvent d’aller sur cette île,
la prendre en images, faire son tour, visiter les mêmes lieux encore et encore,
Faire des photos encore et encore, de cartes postales ou de fonds d’écrans,
Courir après les aurores boréales.
La photographie de l’ennui.
Aujourd’hui, le mot « magnifique » est vide de sens.
Mais, que pense l’autochtone de tous ces visiteurs qui piétinent cette terre qui fût il y a encore quelques années « vierge »,
Peut être que l’Islande serait la terre qui devrait rester ce qu’elle a été.
L’Islande, j’ai autant envie de la revoir et vivre cet ancien « no-man’s land » que de ne pas y retourner,
la prendre en images, faire son tour, visiter les mêmes lieux encore et encore,
Faire des photos encore et encore, de cartes postales ou de fonds d’écrans,
Courir après les aurores boréales.
La photographie de l’ennui.
Aujourd’hui, le mot « magnifique » est vide de sens.
Mais, que pense l’autochtone de tous ces visiteurs qui piétinent cette terre qui fût il y a encore quelques années « vierge »,
Peut être que l’Islande serait la terre qui devrait rester ce qu’elle a été.
L’Islande, j’ai autant envie de la revoir et vivre cet ancien « no-man’s land » que de ne pas y retourner,
dans ce voyage réalisé en octobre 2016 j’ai vécu ou ressenti une sorte de fracture.
1 commentaire sur “Eric Lefortson – Fracture”
Vos images sont belles mais empreintes d’une mélancolie que je n’avais pas ressentie en 2009 lors d’un périple islandais magnifique où nous avions rencontré des gens heureux, joyeux et festifs . J’espère qu’ils le sont encore dans leur île superlative !