Créer de l’image avec de vrais moments de vies, raconter de vraies histoires, partager la passion et créer l’émotion, c’est ce que j’aime et essaie de faire depuis plusieurs années. Mon mot d’ordre est l’authenticité.
C’est d’ailleurs dans cette quête que j’arpente les rues pour capturer des moments de vie et prends toujours un petit appareil photo pour ne rien rater.
J’ai embrassé l’univers de l’image dans cette optique et c’est comme ça que je suis devenu photographe et réalisateur pour des marques d’univers variés.
Lorsqu’on commence la photo il est parfois difficile de s’orienter, et de faire les bons choix. Choisir son premier boitier, ses objectifs, et faire l’erreur de prendre le « kit lens » ! Il faut dire qu’on n’a pas forcément un budget infini, et après avoir fait quelques économies, il faut savoir choisir de vrais bijoux. C’est ce que j’ai fait, et une fois parcouru le net et comparé de nombreux objectifs, mon choix s’est fait sur le merveilleux zoom 18-35mm 1.8, mon premier Sigma. Le genre de bijoux qui transforme votre manière de photographier avec son piqué, le bokeh, son image homogène, le tout dans un zoom de conception et de qualité au top. Je me souviens avoir eu un sentiment de liberté dès les premiers instants avec celui-ci.
Quelques années plus tard, l’image fait entièrement partie de ma vie, j’arrive même à en vivre. Malgré justement les barrières qui se forment lorsque l’art devient un travail, j’essaye de garder mon œil « d’origine » et ne pas prendre la photo trop au sérieux. Il m’arrive parfois de tomber sur des photographes avec tout un arsenal d’équipement pour prendre de simples photos. Je peux comprendre ces choix mais je trouve que l’on apprécie moins le moment présent. Si je devais donner un conseil, c’est de se caler avec un objectif fixe 35 ou 50mm et de « keep it simple ». Je pense qu’une focale fixe contraint le photographe à s’améliorer en travaillant ses angles, ses positions et aide aussi à connaitre son point de vue et se positionner sans même devoir passer par le viewfinder. Travailler à la focale fixe offre aussi une image homogène, une grande ouverture ainsi que de magnifiques « Bokeh ».
C’est donc en amont de mes futurs projets que je me suis mis en quête d’un nouveau 50mm. Il me fallait un objectif assez lumineux, offrant de beaux bokeh pour rentrer dans la thématique « Festival de Cannes » et son coté lumière, stars….
Connaissant le 18-35mm, je me suis rapidement tourné vers le 50mm ART vues ses qualités et sa réputation décrits dans les différents tests.
Mais c’est sur le terrain qu’on se rend vraiment compte de sa qualité. Shootant pour une maison de joaillerie, et donc des sujets assez petits, il est important d’avoir beaucoup de détails sur les photos et révéler la beauté des pièces. C’est là que l’objectif m’a fait halluciner. Le piqué est vraiment incroyable, les bokeh sont doux, jolis, homogènes, pas de distorsions et son autofocus plutôt rapide. Je retrouve aussi la qualité de fabrication, la prise en main, souplesse de la bague de focus. Du Made in Japan.
Le 50mm ART prend une place de qualité parmi mon matériel, il devient même le genre d’objectif qu’on prend tout le temps dans son sac, polyvalent et beau.
Voici quelques photos de ce projet à Cannes.
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Retrouvez sur notre site web toutes les informations sur le 50mm F1.4 DG HSM | Art qu’a utilisé Hicham pour cette série.
Découvrez les autres travaux d’Hicham Meftah sur son site web : http://chipslike.com
Il est également sur Instagram : https://www.instagram.com/chipslike
Toutes les informations sur les objectifs de la ligne Art sont sur notre site SIGMA GLOBAL VISION :
1 commentaire sur “Focus sur : Hicham Meftah – Retour à Cannes au 50mm F1.4 DG HSM | Art”
Les portraits de Hicham Meftah sont superbes. les rendus de ce 50 mm F1.4 Art est somptueux ! A la fois précis et doux.